Baigneuse et Maitresse d’un Teddy sauvagement soumis
A toi Teddy …
J’ouvre ce blog parce que j’aime écrire. J’aime la sensualité, l’élégance.
N’espérez trouver ici aucune photo coquine ou pornographique, n’espérez pas y trouver des récits techniques d’exploits sexuels en tous genres.
Par contre, si comme moi vous aimez les mots, leur conjugaison magique, l’érotisme, les jeux sensuels, le libertinage précieux, alors je suis ravie de vous entrainer dans mon monde sensuel.
Poèmes et prose viendront illustrer de magnifiques baigneuses sorties de l’imaginaire de merveilleux peintres. (en vous promenant sur les images, vous trouvez le nom du peintre et du tableau
Etant moi-même, une de ces femmes aux formes rondes et voluptueuses, elles seront ici à l’honneur.
En espérant que mon monde vous séduise, ayez la bonté de ne pas le salir par la vulgarité.
J’aimerais qu’il soit un endroit où l’on aime se glisser de temps à autre.
La baigneuse n’écrit plus.
Est-ce pour autant qu’elle a cessé de jouer ?
Alors que certains visitent son petit monde intime et s’en inquiètent, elle estime de son devoir, aujourd’hui,
de les rassurer et de raconter…
Teddy et la baigneuse doivent passer un week-end parisien.
Quelques jours avant, alors qu’ils se voient pour déjeuner, la baigneuse prend soin de son allure : elle a
revêtu un chemisier noir à la transparence audacieuse.
Ils devisent agréablement devant quelques sashimis. Elle badine sur un ton léger.
Et soudain, elle sent puis elle voit le regard de Teddy se perdre. Il se fixe sur cette
poitrine au décolleté savant sans être ravageur.
Il ne pourrait cacher son trouble, il ne cherche d’ailleurs pas à le nier. Le voilà irrésistiblement attiré par
le tableau sans prétention.
L’espace d’une seconde, il sait qu’elle sait … mais s’il en avait le moindre doute, elle affiche, à l’instant,
un sourire amusé il lui en dit long sur son manque flagrant d’innocence.
La baigneuse évoque, la baigneuse provoque…
Elle le sent ferré, happé par la blancheur de sa peau, la souvenance de sa finesse, sa douceur veloutée
…
La diablesse s’en amuse sans aucune pudeur et le voilà légèrement rougissant frappé par un désir plein de
candeur, qui, la seconde d’avant, lui aurait paru incongru.
Et si le voilà tout d’un coup souriant, ce n’est qu’en pensant à la dive frustration que la baigneuse va lui
imposer sans l’ombre d’un doute.
Il va devoir attendre, attendre son bon vouloir. Que lui réservera-t-elle ?
À quoi devra-t-il se plier lors de leur prochaine rencontre ?
S’il ignore, il lui propose, cependant, une visite sur la toile afin de trouver quelques partenaires de
jeux pour ce week-end intimiste. Elle balaie l’idée d’un revers de main prétextant l’impossibilité en si peu de temps de trouver chaussure à leur pied.
Le désir de Teddy reste donc avoué et impact alors qu’ils se quittent, ce midi-là, à Paris.
La toile (le net) peut avoir parfois la même inconséquence que la vie réelle.
On peut y chercher une perle rare pendant des heures et des heures sans jamais la trouver.
Elle peut tout autant venir à vous avec une simplicité confondante.
La baigneuse, après quelques minutes de présence, fait connaissance d’un couple d’une quarantaine d’années. Les
deux se prétendent soumis et relativement débutants.
Après quelques échanges à l’écrit, elle devise quelques minutes avec l’un et avec l’autre au téléphone.
Rendez-vous est pris pour le vendredi soir…
Nous voilà donc attablés tous les quatre devant un soda, parlant de tout et de rien.
Après s’être plus ou moins jauger les uns et les autres, nous entrons dans le vif du sujet.
À ma grande surprise, Teddy demande à la dame, Sophie, qu’elles furent ses expériences et faute de s’intéresser
à ce qui ne lui plut pas, il cherche à savoir quels sont ses goûts.
La belle cherche ses mots, regarde son mari, cherche encore… La baigneuse toujours aussi impatiente trouve le
mot avant elle et se fait légèrement reprendre par Teddy qui attendait avidement sa réponse.
Vladimir, son mari, répond en substance à sa place. Il semble plus à l’aise et pourtant…
Alors que nous estimons les uns et les autres avoir fait le tour du sujet ou tout au moins de son aspect
théorique. Nous convions le charmant couple à un moment de relâchement guidé par nos pas. Un regard furtif, et les voilà déposant délicatement dans nos mains deux corps à découvrir.
Teddy, selon ses habitudes, se prépare dans la salle de bains afin de ne revêtir que quelques lanières de cuir
enserrant son torse ainsi que quelques anneaux achetés, il y a peu, mettant en valeur, s’il en était besoin, une intimité promise à de délicieux moments.
La baigneuse demande au couple de se lever. Elle les place côte à côte au milieu du salon. Dans la foulée, elle
couvre les yeux de chacun d’entre eux d’un masque ou d’un foulard.
Les voilà tous les deux habillés, n’ayant ôté que leurs chaussures, privés de la vue et livrés à des mains
inconnues.
Et si la baigneuse ainsi que Teddy ne devinent sur leurs visages une quelconque inquiétude, ils découvrent bien
au contraire un sourire affirmé et prometteur sur celui de Sophie qui semble, immédiatement, prendre un plaisir infini à cette promesse d’abandon qui lui a été faite.
La baigneuse les installe dos à dos.
Aucun rôle n’a été préalablement défini, aucun scénario n’a été évoqué ou imaginé, si ce n’est ceux de Sophie et
Vladimir en soumis.
Teddy se plante devant Vladimir alors que la baigneuse commence à dégrafer les chemise et chemisier respectifs
du couple tranquillement offert.
Il commence à s’approprier le torse de Vladimir alors que la baigneuse dégrafe le soutien-gorge de Sophie,
cherchant à découvrir plus avant la généreuse poitrine habitant l’objet.
Les pointes des seins de la belle se dressent fièrement confirmant le sourire exquis qui se dessine sur
ses lèvres.
La belle est sans nul doute émoustillée quasi immédiatement. Il est bien plus … attentif.
La baigneuse caresse leurs torses de la pointe d’une plume blanche qu’elle cueille sur un superbe plumeau. Elle
regarde les peaux se hérisser ou s’adoucir en fonction du côté de la plume qu’elle utilise. Vous le savez, elle adore jouer sur le contraste de la douceur du duvet et de la dureté de
l’arête centrale.
Le couple se réchauffe doucement au gré des fantaisies des deux dominants.
Estimant l’exacerbation des plaisirs suffisante, ils exigent la nudité pour l’un et pour l’autre.
Ils découvrent alors leurs jambes, leurs bras, leur dos, et enfin leur intimité.
Sophie ne se fait pas prier, elle exécute chaque ordre avec une obéissance enjouée. Vladimir, quant à lui, s’il
reste attentif aux ordres, semble plus en recul et moins décidé à se livrer.
Teddy place Sophie à quatre pattes sur le tapis. Elle livre volontiers à nos regards une croupe offerte entre
une jolie taille marquée et des cuisses assez ouvertes pour les considérer avenantes et imposant une visite.
Il ne nous faut que très peu de temps pour comprendre que la belle est en très bonne disposition, évidente
gourmande, elle gémit bien vite caresses imposées par Teddy qu’elle fut à quatre pattes, debout une jambe en l’air posée sur une chaise.
La baigneuse visite le corps de Vladimir sans hâte.
Alors qu’ils sont côte à côte, debout, livrés aux caresses l’un et l’autre, Teddy murmure quelques mots à
l’oreille de Sophie et la voilà qui dit timidement, le nez en l’air, sans le voir à son mari :
« J’ai envie de toi », Teddy estimant qu’elle ne l’a pas dit assez fort lui fait répéter encore et encore.
Sophie gémit et crie, à la fois, son désir, son plaisir qui semble là, tout proche.
La baigneuse sent ostensiblement sous sa main le résultat tangible que provoquent les appels de la belle.
L’étendard de Vladimir est grand élevé ….
Teddy et la baigneuse décide alors de les regarder satisfaire à leurs envies sur ordre.
Elle doit dire sans détour son envie et il doit tout faire pour l’exaucer.
Alors qu’elle hurle qu’elle veut et doit être prise, là à l’ instant, sur ce tapis, devant ces inconnus, elle se
place à quatre pattes, ouvrant ses cuisses.
Alors qu’il prouve que ce qu’elle crie l’émeut, la baigneuse le guide jusqu’à l’antre bouillante de son épouse.
Il la pénètre avec fougue se sachant observé et sentant sur son corps des mains se promener.
Elle est aux anges, gémit de plus belle à chaque va-et-vient, c’est alors que Teddy exige qu’elle hurle enfin
son amour à son mari avec une impudeur folle et indicible.
Elle s’exécute non sans bonheur et lui crie : « je t’aime, Vladimir «
Alors que la soirée continue, Teddy et la baigneuse ont conscience d’avoir affaire à une véritable coquine,
femme fontaine qui peut-être s’ignore.
Vladimir, quant à lui, se livre peu.
Sans doute se reverront-ils afin d’en découvrir un peu plus…
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