Samedi 19 janvier 6 19 /01 /Jan 00:16
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Je l’attends devant un thé et les souvenirs reviennent ou est ce mon imaginaire qui s’amuse à anticiper le reste de la soirée ?

Nous arrivons au club un peu avant minuit…

Il est nu, comme d’habitude, revêtant pour seule parure un collier rose muni d’un petit grelot et une laisse écossaise assortie, achetés dans un magasin pour chiens chics.

Je porte une longue tunique noire, des bas blancs et des chaussures noires, la seule touche de couleur est le nœud rose qui les orne et s’harmonise à la laisse.

Je m’assoie sur un siège napoléon, le laisse debout, les bras croisés derrière le dos.

Je n’ai pas à lui rappeler qu’il doit garder les yeux fermés, les consignes sont apprises depuis longtemps.

Il offre sa nudité aux regards des autres  et reste dans l’ignorance, provoque-t-il intérêt ou indifférence ?

Je sirote un Perrier en regardant l’assistance.  J’aimerais y trouver un compagnon de jeu pour Teddy ou pourquoi pas une maitresse qui, je le sais d’expérience, sera bien plus sévère que moi.

Je le guide du bout de la laisse vers une petite pièce et l’attache à la croix. Je flatte tout doucement son échine de ma badine. Elle est blanche comme mes bas, je le sais sensible à ce symbole d’une innocence feinte, d’une virginité prétendue. Je le laisse d’ailleurs entrevoir mes bas juste pour attiser son désir tout de suite, c’est si facile ! J’adore …

Il ne bouge pas, sage, corps offert, esprit ouvert aux multiples sensations qui vont sans cesse le submerger tout au long de ces heures de doux calvaire.

Mes doigts agiles parcourent son corps, tantôt doux et tendres effleurements, tantôt griffures sauvages.

Une zone le bouleverse étonnamment, son crane nu, sans cheveu et diantre qu’il est plaisant de le visiter avec méthode du bout des ongles, centimètre après centimètre, je le vois tressaillir, son nez se tord, sa bouche gémit et frémit.

Je sors soudain mon fouet et commence à marteler ce corps avec les lanières de cuir très doucement en imprimant un rythme constant. Je n’épargne aucune parcelle de sa peau, y compris ses parties intimes.

Une femme  approche. Elle est belle, revêtue d’une toute  légère robe noire. Elle nous regarde, traverse la pièce et va s’installer sur le slim (sorte de balançoire suspendue), juste en face de la croix.

L’éclairage est très faible et laisse deviner son visage et entrevoir son torse dans la presque obscurité.

Elle semble prendre plaisir à me regarder martyriser Teddy toujours avec la même lenteur voulue.

Teddy reste les yeux fermés inconscient de cette charmante présence. Elle commence en se balançant doucement sur le slim à laisser ses mains partir en promenade sur son corps. D’un geste gracile, elle ôte les bretelles de sa robe.

Je donne l’ordre à Teddy de regarder. Je le veux fasciné par ce spectacle troublant. Elle se caresse en se balançant sur une musique douce.

Le reflet de la lumière d’une bougie joue sur sa peau, son torse. Nous entrevoyons ses petits seins blancs, laiteux, fermes, son ventre pâle, son sexe où ses mains se rejoignent dans l’obscurité.

Les yeux de Teddy se vautrent et s’emplissent de ce moment magique entre tous  où l’on touche la beauté du bout des cils …

Le temps semble se suspendre sur nous trois. Nous sommes immobiles soudain ensorcelés par la lueur d’une bougie.

Puis, elle se lève, se rajuste et pars avec un délicieux sourire.

Teddy referme les yeux sans même que je lui en intime l’ordre. Il a adoré, je le sais, et c’est avec plaisir que je le laisse entrevoir la beauté pour mieux attiser son désir, le faire grimper toujours et encore plus haut.

Je redonne à mon fouet son énergie perdue, il se réveille sous les coups et pousse quelques grognements.

Je le détache et du bout de la laisse le tire vers ailleurs. J’ai très  envie d’offrir mon bel ours à cette femme.

Je la trouve et lui présente Teddy très officiellement le décrivant comme un ours encore jeune mais sage et obéissant.

Je le lui offre, lui laissant carte blanche, qu’elle en use à sa guise, et lui tend ma badine.

Elle ordonne à Teddy de se pencher sur un meuble bas et le tâte du bout de la badine en devisant avec moi avec un ravissant accent anglais, lui donnant des faux airs de Lady Chatterley.

Soudain, elle fait pleuvoir sur le cuir de mon ours une averse de coups sévères. Il remue, geint, mais se repositionne aussitôt signalant ainsi sa totale soumission.

Elle me félicite quant à sa bonne éducation. Je lui réponds que  je suis assez sévère lors de ses incartades et que les punitions qui s’en suivent sont conséquentes.

Il me faut avouer que je prends un réel plaisir à voir cette femme revêtir un instant mon rôle de maitresse et je suis fière de l’absolue obéissance de mon ours chéri.

La femme se rassoit.

« Désirez vous que Teddy vous caresse les seins, lui dis je, il est assez adroit »

« Mais, avec plaisir » répond t’elle avec son ravissant accent britannique

Teddy s’approche sur ordre et à tâtons cherche les superbes tétons entrevus plus tôt, mais cela il l’ignore. Il les prend en bouchez avec l’adresse que je lui connais, les suce et aspire, elle aime ça.

Il flatte le premier et fait subir le même sort à l’autre.

Le compagnon de cette femme et moi regardons la scène sans un mot.

Une complicité naissante monte soudain dans la pièce.

Nous nous dirigeons tous les quatre vers une couche.

J’ordonne à Teddy de caresser la femme tandis qu’elle s’occupe de son mari. Je veux qu’il satisfasse ce sexe offert.

Puis, j’ai envie d’autre chose et je demande si Teddy peut prendre le grand pic plein de désir de l’homme et le masturber.

J’aime regarder Teddy qui se penche sur ce sexe tandis que je sens des mains parcourir mon corps.

Il s’ensuit un merveilleux moment où l’amour se joue à huit mains, quatre bouches. Nos quatre corps se mélangent au gré de nos envies, le tout dans une grande attention. Il se dégage une merveilleuse sensualité de cette belle débauche.

Bien plus tard, ils nous quittent.

Nous sommes enfin seuls, Teddy est empli d’émotions, de désirs et je lui offre ce que je suis seule à pouvoir lui offrir, ce qu’il ne désire peut être même pas : un morne  plaisir.

 

 

 


Par la baigneuse - Publié dans : Teddy
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