Baigneuse et Maitresse d’un Teddy sauvagement soumis
A toi Teddy …
J’ouvre ce blog parce que j’aime écrire. J’aime la sensualité, l’élégance.
N’espérez trouver ici aucune photo coquine ou pornographique, n’espérez pas y trouver des récits techniques d’exploits sexuels en tous genres.
Par contre, si comme moi vous aimez les mots, leur conjugaison magique, l’érotisme, les jeux sensuels, le libertinage précieux, alors je suis ravie de vous entrainer dans mon monde sensuel.
Poèmes et prose viendront illustrer de magnifiques baigneuses sorties de l’imaginaire de merveilleux peintres. (en vous promenant sur les images, vous trouvez le nom du peintre et du tableau
Etant moi-même, une de ces femmes aux formes rondes et voluptueuses, elles seront ici à l’honneur.
En espérant que mon monde vous séduise, ayez la bonté de ne pas le salir par la vulgarité.
J’aimerais qu’il soit un endroit où l’on aime se glisser de temps à autre.
Inspirée par Oxymore
Tu es là face à moi, l’éclairage est faible et met en valeur ta peau et ses zones d’ombre.
Ton corps n’est plus que superbe clavier où je vais délicatement poser mes doigts afin d’entendre ton chant.
Je toucherai les blanches, effleurerai les noirs, au gré de mon esprit fantasque.
Tu m’offriras une belle mélodie, celle du bonheur.
Parfois, j’écorcherai ta peau afin que la musique soit plus riche, moins policée.
En martyrisant tendrement ce clavier si merveilleusement offert, je te regarderai bouger au rythme de la musique de mes doigts.
Les blanches seront limpides, graciles. Les noires plus inaccessibles plus langoureuses.
Chaque centimètre de ta peau jouera enfin une élégante et divine complainte.
Je changerai alors d’instrument le fouet en cymbale, la badine en tambour, viendront gronder le long de tes flancs.
Le chant deviendra puissant, intense, ta peau frémissante, le visage grimaçant, tu hurleras la musique de chaque pore de ta peau.
J’alternerai les couplets doux et tendres et les refrains forts et fermes.
Et toi beau piano offert à mes doigts, et autres instruments de doux supplices, tu danseras pour moi, ta maitresse, la propriétaire le temps d’un chant de ce clavier somptueux à l’écoute de sa propre musique.
Tantôt lasse, j’écrirai une longue complainte, tantôt plus inspirée je jouerai une belle symphonie, usant d’autres instruments qui viendront donner l’écho à ton clavier à balades.
Nous jouerons prélude, fugues et concertos, tu exulteras la musique, je la dirigerai de ma baguette.
La mélodie se finira par une note romantique, belle envolée d’un amour en musique.
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